Urs Niggli est un des agronomes les plus réputés au niveau mondial et a été jusqu’en mars 2020 le directeur de l’Institut de recherche de l’agriculture biologique FiBL. Sous sa direction, le FiBL est passé de 20 collaborateurs à 200 aujourd’hui et est devenu un institut réputé dans le domaine de l’agriculture biologique ; c’est ainsi que l’Institut a établi des connexions avec l’Allemagne, la France, l’Autriche et la Hongrie. Le FiBL est même représenté officiellement à Bruxelles.
Activités actuelles
- Président Institut d'agroécologie
- Membre du Groupe de travail pour l'élaboration du Document de position du Conseil allemand de la science et des humanités sur les "Perspectives en sciences agricoles et alimentaires" (WR Cologne) depuis 2021. (Wissenschaftsrat "Perspektiven der Agrar- und Ernährungswissenschaften (WR Köln)
- Président FiBL Autriche
- Membre du CNS-FAO : Comité national suisse de la FAO
- Membre du conseil d’administration de Czech Organics
- Membre du conseil d’administration de l’Institut de recherche belgique pour l’agriculture biologique (BRIOA)
- Professeur honoraire à l’Université Kassel-Witzenhausen, Allemagne
- Professeur honoraire à l’Université agricole de Beijin
Anciennes fonctions
- Membre du groupe scientifique du Secrétaire général de l’ONU pour la préparation du «Food System Summit» 2021 à New York (2020-2022)
- Membre du multidisciplinary expert group of the European Commission regarding the legislative framework of the Farm to Fork strategy (2020)
- Membre du Groupe de pilotage de la recherche sur le développement durable Académie suisse des sciences naturelles (SCNAT) (2018-2020)
«Selon moi, outre les considérations écologiques et les responsabilités sociales de l’agriculture, l’alimentation représente une priorité. L’énorme pression exercée en vue d’obtenir un accroissement du rendement peut être amoindrie en réduisant le gaspillage des denrées alimentaires et des céréales utilisées pour la nourriture du bétail. La durabilité globale et la sécurité alimentaire reposent essentiellement sur les épaules des paysannes et les paysans conscients de leur valeur.»